La profession de taxi aux Etats-Unis répond à des règles très strictes et certains anciens criminels ayant purgé leur peine ne peuvent pas devenir taxi. Ces peines sont, notamment, des agressions envers des personnes. Ainsi faisant les taxis protègent les clients. Mais Uber ne semble pas procéder aux mêmes contrôles.
Les procureurs de San Francisco et Los Angeles ont donc déposé une plainte ce jeudi 20 août 2015 contre Uber. Ils auraient découvert que 25 conducteurs d'Uber n'auraient jamais pu avoir la licence de taxi. Parmi ceux-ci on trouverait un ancien meurtrier ayant passé 26 ans en prison, des délinquants sexuels enregistrés ou encore un kidnappeur. Tous auraient passé les contrôles d'Uber qui ne croise pas, comme le font les taxis, les données et les empreintes avec les fichiers fédéraux.
Il aura donc suffit à ces criminels de donner de fausses informations pour passer le test même si, se défend Uber, certains potentiels candidats ont été refusés après avoir contrôlé leur identité et leur historique. Mais, selon le San Francisco Chronicle, l'historique ne remonterait que 7 ans en arrière.
Uber se défend en outre estimant que le contrôle parfait n'existe pas et que le contrôle des empreintes pourrait être un facteur de discrimination. Un argument qui ne convainc pas les procureurs qui demandent l'arrêt des pratiques et des sanctions financières à l'encontre de la start-up qui ne cesse d'avoir des problèmes avec la justice et ce dans le monde entier.
Les procureurs de San Francisco et Los Angeles ont donc déposé une plainte ce jeudi 20 août 2015 contre Uber. Ils auraient découvert que 25 conducteurs d'Uber n'auraient jamais pu avoir la licence de taxi. Parmi ceux-ci on trouverait un ancien meurtrier ayant passé 26 ans en prison, des délinquants sexuels enregistrés ou encore un kidnappeur. Tous auraient passé les contrôles d'Uber qui ne croise pas, comme le font les taxis, les données et les empreintes avec les fichiers fédéraux.
Il aura donc suffit à ces criminels de donner de fausses informations pour passer le test même si, se défend Uber, certains potentiels candidats ont été refusés après avoir contrôlé leur identité et leur historique. Mais, selon le San Francisco Chronicle, l'historique ne remonterait que 7 ans en arrière.
Uber se défend en outre estimant que le contrôle parfait n'existe pas et que le contrôle des empreintes pourrait être un facteur de discrimination. Un argument qui ne convainc pas les procureurs qui demandent l'arrêt des pratiques et des sanctions financières à l'encontre de la start-up qui ne cesse d'avoir des problèmes avec la justice et ce dans le monde entier.