Le gouvernement d’Emmanuel Macron avait initialement prévu de se conformer au calendrier prévu par François Hollande : le prélèvement à la source devait être instauré pour l’année 2018, soit à partir du mois de janvier 2018, sur les revenus de l’année 2017. Le Medef, en particulier, et d’autres organisations patronales ont toutefois toujours clamé leur inquiétude pour une réforme complexe et potentiellement désastreuse.
Afin de vérifier les propos des patrons, le gouvernement a décidé de se donner un peu de temps. Dans un entretien accordé début juin 2017 au Parisien, Edouard Philippe, Premier ministre, a annoncé sa décision : le report au mois de janvier 2019 de la réforme sur l’impôt sur le revenu. Il a néanmoins affirmé que le gouvernement estimait toujours que le prélèvement à la source était une bonne réforme et qu’il n’était pas question, pour l’instant, de la supprimer.
Le Medef s’est félicité de cette décision par communiqué et a demandé au gouvernement de revoir de fond en comble le dispositif et les problèmes qu’il peut causer, notamment dans les relations entre patrons et salariés. Plusieurs expérimentations seront menées dans des entreprises volontaires dans le courant de l’année 2017 et les résultats de ces tests seront audités par le gouvernement pour identifier et résoudre les points problématiques.
En attendant, une première réforme va toucher le salaire des Français : la suppression des cotisations patronales annoncée pour 2018.
Afin de vérifier les propos des patrons, le gouvernement a décidé de se donner un peu de temps. Dans un entretien accordé début juin 2017 au Parisien, Edouard Philippe, Premier ministre, a annoncé sa décision : le report au mois de janvier 2019 de la réforme sur l’impôt sur le revenu. Il a néanmoins affirmé que le gouvernement estimait toujours que le prélèvement à la source était une bonne réforme et qu’il n’était pas question, pour l’instant, de la supprimer.
Le Medef s’est félicité de cette décision par communiqué et a demandé au gouvernement de revoir de fond en comble le dispositif et les problèmes qu’il peut causer, notamment dans les relations entre patrons et salariés. Plusieurs expérimentations seront menées dans des entreprises volontaires dans le courant de l’année 2017 et les résultats de ces tests seront audités par le gouvernement pour identifier et résoudre les points problématiques.
En attendant, une première réforme va toucher le salaire des Français : la suppression des cotisations patronales annoncée pour 2018.