L’administration fiscale est perçue comme étant le service public le plus « digitalisé »
83 % des Français reconnaissent qu’il y a de plus en plus d’outils et de services à disposition, et 66 % des Français estiment que ces outils et services sont de plus en plus faciles à utiliser.
Malgré tout, de fortes disparités existent selon les secteurs : celui que les Français considèrent comme étant le plus développé du point de vue numérique est l’administration fiscale (84 %). La sécurité sociale recueille 65 % des avis favorables. Des progrès restent néanmoins à faire dans les services liés à l’emploi et au chômage (50 %), et encore plus dans les secteurs de la santé et de l’enseignement supérieur, puisque seuls 49 % et 46 % des Français respectivement les considèrent comme étant suffisamment digitalisés. Le secteur qui a l’image d’être le moins digitalisé est la justice et la police.
Malgré tout, de fortes disparités existent selon les secteurs : celui que les Français considèrent comme étant le plus développé du point de vue numérique est l’administration fiscale (84 %). La sécurité sociale recueille 65 % des avis favorables. Des progrès restent néanmoins à faire dans les services liés à l’emploi et au chômage (50 %), et encore plus dans les secteurs de la santé et de l’enseignement supérieur, puisque seuls 49 % et 46 % des Français respectivement les considèrent comme étant suffisamment digitalisés. Le secteur qui a l’image d’être le moins digitalisé est la justice et la police.
Les Français formulent des attentes fortes vis-à-vis des services numériques, mais les utilisent encore très peu
Pour faciliter l’interaction avec l’administration via des canaux numériques, 48 % des Français estiment qu’il est important de mettre en place un guichet numérique unique, permettant d’accéder à l’ensemble des services administratifs. Pour 45 % de nos compatriotes, ce chantier doit passer par la création d’un compte citoyen personnalisé.
Pour les Français, la principale raison d’être des services numériques est de limiter leurs déplacements (citée par 51 % des Français). Viennent ensuite le souhait de réaliser les démarches au moment de la journée de son choix et celui de gagner du temps.
Cependant, pour l’instant, l’utilisation de services numériques grand public est tout sauf systématique en France puisque seuls 27 % des Français s’y connectent plus d’une fois tous les six mois.
Le sondage Ipsos pour Sopra Steria a été réalisé du 25 septembre au 4 octobre 2017 auprès d’un panel de 4001 individus, interrogés par Internet, en France, au Royaume-Uni, en Norvège et en Allemagne. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas au regard des critères de sexe, d’âge, de profession, de catégorie d’agglomération et de région.
Pour les Français, la principale raison d’être des services numériques est de limiter leurs déplacements (citée par 51 % des Français). Viennent ensuite le souhait de réaliser les démarches au moment de la journée de son choix et celui de gagner du temps.
Cependant, pour l’instant, l’utilisation de services numériques grand public est tout sauf systématique en France puisque seuls 27 % des Français s’y connectent plus d’une fois tous les six mois.
Le sondage Ipsos pour Sopra Steria a été réalisé du 25 septembre au 4 octobre 2017 auprès d’un panel de 4001 individus, interrogés par Internet, en France, au Royaume-Uni, en Norvège et en Allemagne. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas au regard des critères de sexe, d’âge, de profession, de catégorie d’agglomération et de région.