L'idée, la voilà d'après Le Parisien : un « mini big bang fiscal », ou encore un moyen de déshabiller Pierre pour habiller Paul. Le taux de TVA sur de nombreux produits de grande consommation, comme le chocolat par exemple, baisserait de 20% à 5,5%. Cette mesure, pensée pour les ménages aux budgets modestes et pour « simplifier le maquis des taxes sur les produits agroalimentaires », d'après le rapport, représente un coût de 600 millions d'euros.
Augmenter la taxe soda à 21,47 euros par hectolitre génèrerait des recettes supplémentaires de 590 millions d'euros, qui seraient affectées au manque à gagner sur la baisse de la TVA sur les produits de grande consommation. Cette hausse représente en fait 4,6 centimes sur une canette : pas de quoi grever le budget des consommateurs ; il est même possible que les marques rognent sur leurs marges pour ne pas refiler la facture aux consommateurs.
Parmi les autres pistes du rapport, on trouve une hausse de la TVA sur les barres chocolatées (qualifiées de produit de « grignotage » pleins de sucre et d'acides gras saturés), ou sur tous les produits contenant trop de sucre. Il reviendra aux parlementaires d'en décider dans le projet de loi de finance.
Augmenter la taxe soda à 21,47 euros par hectolitre génèrerait des recettes supplémentaires de 590 millions d'euros, qui seraient affectées au manque à gagner sur la baisse de la TVA sur les produits de grande consommation. Cette hausse représente en fait 4,6 centimes sur une canette : pas de quoi grever le budget des consommateurs ; il est même possible que les marques rognent sur leurs marges pour ne pas refiler la facture aux consommateurs.
Parmi les autres pistes du rapport, on trouve une hausse de la TVA sur les barres chocolatées (qualifiées de produit de « grignotage » pleins de sucre et d'acides gras saturés), ou sur tous les produits contenant trop de sucre. Il reviendra aux parlementaires d'en décider dans le projet de loi de finance.