Plus de la moitié des bac+5 ont décroché un emploi de niveau cadre
12 mois après l’obtention de leur diplôme, 53 % des jeunes diplômés bac+5 avaient un emploi de niveau cadre ou fonctionnaire A. 55 % étaient en CDI ou titularisés, tandis que 38 % étaient contractuels ou en CDD. 55 % avaient un poste dans une entreprise de plus de 250 salariés, tandis que 75 % travaillaient dans le secteur privé.
Les trois fonctions les plus fréquemment occupées par les jeunes bac+5 sont « commercial-marketing », « gestion-finance-administration » et « études, recherche et développement ». Ces trois fonctions rassemblent la moitié des jeunes bac+5. Selon l’avis des 44 % des bac+5, leur emploi correspond « tout à fait » à leur niveau de qualification. Pour 30 %, il correspond « assez ».
Les trois fonctions les plus fréquemment occupées par les jeunes bac+5 sont « commercial-marketing », « gestion-finance-administration » et « études, recherche et développement ». Ces trois fonctions rassemblent la moitié des jeunes bac+5. Selon l’avis des 44 % des bac+5, leur emploi correspond « tout à fait » à leur niveau de qualification. Pour 30 %, il correspond « assez ».
Les bac+5 réussissent plus facilement à décrocher un premier emploi en adéquation avec leur diplôme
L’insertion s’avère la plus facile pour les bac+5 diplômés en sciences humaines et sociales : 97 % d’entre eux trouvent un premier emploi 12 mois après leur sortie de l’enseignement supérieur. Les diplômés des sciences technologiques, ainsi que ceux des lettres, langues et arts peuvent se vanter d’un taux d’insertion comparable (96 % et 95 % respectivement). L’insertion est cependant plus difficile pour les diplômés des sciences fondamentales (75 %).
Si les jeunes diplômés bac+3 et bac+5 sont autant à être en emploi 12 mois après la fin de leurs études (64 %), 24 % des bac+5 qualifient leur emploi d’« alimentaire », tandis que les titulaires d’un bac+3 ou bac+4 sont 33 % à le faire.
Si les jeunes diplômés bac+3 et bac+5 sont autant à être en emploi 12 mois après la fin de leurs études (64 %), 24 % des bac+5 qualifient leur emploi d’« alimentaire », tandis que les titulaires d’un bac+3 ou bac+4 sont 33 % à le faire.