Les professionnels du vin ont déjà prévenu : la météo n’a pas été favorable à la production viticole. Capricieuse, elle va obliger les vendanges à être réalisées près de deux semaines en avance sur le timing habituel. Résultat : la production de vin ne sera pas très importante. Pire : certains producteurs estiment que la récolte sera une des plus basses depuis l’an 2000.
Si la quantité n’est pas au rendez-vous, la qualité par contre le sera : les vendanges, bien que précoces, devraient donner un millésime 2017 très bon ce qui permettra de faire augmenter les prix. Moins de production mais plus qualitative, voilà qui devrait en partie compenser les pertes liées à la météo et, surtout, au gel. Certains producteurs ont perdu plus de 50 % de leur récolte.
Si l’augmentation des prix va compenser en partie les pertes, les syndicats des agriculteurs, en particulier la FNSEA, en appelle déjà au ministère de l’Agriculture pour qu’il prévoit des aides sous la forme de réductions d’impôts ou de baisses de cotisations sociales.
En pleine période d’économies massives pour le gouvernement qui doit faire en sorte que le budget de la France colle avec les obligations du Pacte de Stabilité, pas sûr que le ministère de l’Agriculture réponde présent à ces demandes urgentes.
Si la quantité n’est pas au rendez-vous, la qualité par contre le sera : les vendanges, bien que précoces, devraient donner un millésime 2017 très bon ce qui permettra de faire augmenter les prix. Moins de production mais plus qualitative, voilà qui devrait en partie compenser les pertes liées à la météo et, surtout, au gel. Certains producteurs ont perdu plus de 50 % de leur récolte.
Si l’augmentation des prix va compenser en partie les pertes, les syndicats des agriculteurs, en particulier la FNSEA, en appelle déjà au ministère de l’Agriculture pour qu’il prévoit des aides sous la forme de réductions d’impôts ou de baisses de cotisations sociales.
En pleine période d’économies massives pour le gouvernement qui doit faire en sorte que le budget de la France colle avec les obligations du Pacte de Stabilité, pas sûr que le ministère de l’Agriculture réponde présent à ces demandes urgentes.