Ce que reproche Bruxelles à Google est simple : Google aurait privilégié certains résultats lors des recherches sur le moteur de recherche, notamment des résultats qui lui étaient favorables car sponsorisés ou liés à ses autres activités. Après avoir reçu diverses plaintes de concurrents du géant, notamment Microsoft qui avait eu aussi des déboires avec l'Antitrust américaine dans les années 2000, Bruxelles avait lancé une enquête.
Cinq ans se sont écoulés depuis le lancement de l'enquête et pour Bruxelles il ne fait aucun doute que les plaintes étaient fondées. Google se retrouve donc sur le banc des accusés et a deux mois pour préparer sa défense avant l'audience et le possible procès.
S'il est reconnu coupable, le géant risque gros : l'amende pourrait atteindre 6 milliards d'euros, soit 10% de son chiffre d'affaires mondial. Mais surtout Bruxelles pourrait demander une scission du groupe et de ses activités afin que la recherche soit indépendante. Une idée qui a déjà traversé l'esprit de divers élus européens qui pourraient voir dans ce procès la bonne occasion pour mettre en œuvre leurs idées.
Les élus aimeraient en effet avoir la main sur l'algorithme de Google et sur le moteur de recherche qui capte 90% des recherches internet européennes.
De son côté, bien évidemment, Google réfute les accusations qu'il considère "loi de toute vérité" dans un billet publié sur son blog officiel après l'annonce de l'accusation.
Cinq ans se sont écoulés depuis le lancement de l'enquête et pour Bruxelles il ne fait aucun doute que les plaintes étaient fondées. Google se retrouve donc sur le banc des accusés et a deux mois pour préparer sa défense avant l'audience et le possible procès.
S'il est reconnu coupable, le géant risque gros : l'amende pourrait atteindre 6 milliards d'euros, soit 10% de son chiffre d'affaires mondial. Mais surtout Bruxelles pourrait demander une scission du groupe et de ses activités afin que la recherche soit indépendante. Une idée qui a déjà traversé l'esprit de divers élus européens qui pourraient voir dans ce procès la bonne occasion pour mettre en œuvre leurs idées.
Les élus aimeraient en effet avoir la main sur l'algorithme de Google et sur le moteur de recherche qui capte 90% des recherches internet européennes.
De son côté, bien évidemment, Google réfute les accusations qu'il considère "loi de toute vérité" dans un billet publié sur son blog officiel après l'annonce de l'accusation.