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Depuis plusieurs jours l'information circule : la BCE aurait l'intention de supprimer le billet de 500 euros car il sera relié à des affaires de mafia, de terrorisme ou encore de proxénétisme. Sa valeur nominale élevée et sa taille réduite en feraient le billet préféré des criminels. Son utilité très réduite au quotidien, de plus, fait que les citoyens européens ne devraient pas souffrir de sa disparition.
Cette idée a été confirmée ce vendredi 12 février 2016 par le ministre des Finances française, Michel Sapin. Interrogé sur la question en marge d'une réunion avec les autres ministres des Finances de l'Union Européenne, il a clairement déclaré que "le billet de 500 euros est plus utilisé pour dissimuler que pour acheter" avant de poursuivre : "Il plus utilisée pour faciliter des transactions qui ne sont pas honnêtes que pour permettre à vous et moi d'acheter de quoi se nourrir".
Sa suppression entraînera néanmoins un coût non négligeable pour la BCE. Si les billets de 500 euros ne représentent, en quantité, que 3 % de l'ensemble des billets en circulation, ils représentent 28 % de la valeur globale des euros dans l'Union Européenne. Il faudra donc remplacer cette somme, un peu plus de 300 milliards d'euros, en billets d'autre valeur qu'il faudra imprimer.
Cette idée a été confirmée ce vendredi 12 février 2016 par le ministre des Finances française, Michel Sapin. Interrogé sur la question en marge d'une réunion avec les autres ministres des Finances de l'Union Européenne, il a clairement déclaré que "le billet de 500 euros est plus utilisé pour dissimuler que pour acheter" avant de poursuivre : "Il plus utilisée pour faciliter des transactions qui ne sont pas honnêtes que pour permettre à vous et moi d'acheter de quoi se nourrir".
Sa suppression entraînera néanmoins un coût non négligeable pour la BCE. Si les billets de 500 euros ne représentent, en quantité, que 3 % de l'ensemble des billets en circulation, ils représentent 28 % de la valeur globale des euros dans l'Union Européenne. Il faudra donc remplacer cette somme, un peu plus de 300 milliards d'euros, en billets d'autre valeur qu'il faudra imprimer.