Les nouvelles techniques de la Caisse d'Allocations Familiales pour découvrir les fraudeurs, notamment ceux qui ne fournissent pas des informations exactes pour bénéficier des allocations, semblent porter leurs fruits. Grâce à une plus étroite collaboration entre la CAF, Pôle Emploi et l'administration, notamment Bercy, les dossiers les plus à risque sont plus facilement identifiés par les contrôleurs.
C'est ainsi que la CAF, durant ses 166 000 contrôles en 2015, soit 8 000 de moins qu'en 2014, réalisés par ses 640 contrôleurs agréés, a pu identifier 39 934 cas de fraudes. Un nombre en forte hausse sur un an mais qui reste relativement faible comparé aux 11,8 millions d'allocataires que compte la France.
Les réelles fraudes ont atteint une somme également en forte hausse, ce qui paraît logique. Les sommes frauduleuses ont atteint, en 2015,; 247,8 millions d'euros (+21,6 % par rapport à 2014). Mais ce n'est pas tout : les services de la CAF ont identifié en tout 72 178 indus en 2015 (issus de fraudes ou d'erreurs) pour un montant total de 255 millions d'euros.
La CAF a également récupéré 58,8 millions d'euros sur 49 013 dossiers grâce aux rappels de droits, c’est-à-dire les sommes perçues par erreur par les allocataires à la suite d'une erreur des services de la CAF.
C'est ainsi que la CAF, durant ses 166 000 contrôles en 2015, soit 8 000 de moins qu'en 2014, réalisés par ses 640 contrôleurs agréés, a pu identifier 39 934 cas de fraudes. Un nombre en forte hausse sur un an mais qui reste relativement faible comparé aux 11,8 millions d'allocataires que compte la France.
Les réelles fraudes ont atteint une somme également en forte hausse, ce qui paraît logique. Les sommes frauduleuses ont atteint, en 2015,; 247,8 millions d'euros (+21,6 % par rapport à 2014). Mais ce n'est pas tout : les services de la CAF ont identifié en tout 72 178 indus en 2015 (issus de fraudes ou d'erreurs) pour un montant total de 255 millions d'euros.
La CAF a également récupéré 58,8 millions d'euros sur 49 013 dossiers grâce aux rappels de droits, c’est-à-dire les sommes perçues par erreur par les allocataires à la suite d'une erreur des services de la CAF.