Alors que Travis Kalanick PDG d'Uber a été condamné pour exercice illégal de la profession de taxi avec son partenaire sud-coréen en décembre 2014, le groupe, implanté en Corée depuis 2013, avait proposé aux autorités de légaliser ses chauffeurs et son service. En échange, Uber s'engageait à fournir les données de navigation des voitures et d'enregistrer les taxis.
Un échange qui n'a guère plu à la justice sud-coréenne qui semble l'avoir pris comme un affront : " Le fait que la société a promis de poursuivre ses opérations (...), clairement en violation de la loi, signifie qu'ils font fi de notre système juridique" a déclaré le ministre des Transports, jugeant que ce que proposait Uber était "inacceptable".
Le service de VTC reste donc interdit et semble s'être attiré encore plus les ires du gouvernement. Ce dernier estime qu'Uber présente un réel risque pour la survie des chauffeurs de taxis classiques.
Alors la chasse a été ouverte : afin de traquer tous les chauffeurs d'Uber du pays, une récompense de 1 million de wons, soit 800 euros environ, est offerte à toute personne qui dénoncerait un chauffeur d'Uber en activité. De quoi inciter fortement la délation et mettre les bâtons entre les roues d'Uber qui ne cesse de passer de tribunal en tribunal, le plus souvent sans obtenir gain de cause.
Un échange qui n'a guère plu à la justice sud-coréenne qui semble l'avoir pris comme un affront : " Le fait que la société a promis de poursuivre ses opérations (...), clairement en violation de la loi, signifie qu'ils font fi de notre système juridique" a déclaré le ministre des Transports, jugeant que ce que proposait Uber était "inacceptable".
Le service de VTC reste donc interdit et semble s'être attiré encore plus les ires du gouvernement. Ce dernier estime qu'Uber présente un réel risque pour la survie des chauffeurs de taxis classiques.
Alors la chasse a été ouverte : afin de traquer tous les chauffeurs d'Uber du pays, une récompense de 1 million de wons, soit 800 euros environ, est offerte à toute personne qui dénoncerait un chauffeur d'Uber en activité. De quoi inciter fortement la délation et mettre les bâtons entre les roues d'Uber qui ne cesse de passer de tribunal en tribunal, le plus souvent sans obtenir gain de cause.