Les vignobles français n'ont pas eu la belle vie cette année 2016 et la production s'en est ressentie. Entre des fortes pluies, de la grêle et des périodes de sécheresse, la production de vin en France a chuté de 12 % en 2016 par rapport à 2015 ce qui a empêché le pays de retrouver sa couronne de leader mondial de la production de vin perdue il y a quelques années.
En 2016 les vignobles français auront donc produit, selon les premières estimations, 41,9 millions d'hectolitres de vin. C'est la Champagne, avec une baisse de 32 % de la production, qui est le plus impactée par cette mauvaise année, suivie de la Charente (-22 %). Avec une telle baisse de production, l'écart entre l'Italie et la France se creuse.
Le voisin transalpin a en effet connu une année bien meilleure avec une baisse de la production très limitée (-0,2 %). L'Italie, qui garde sa couronne de leader, devrait produire en 2016 48,8 millions d'hectolitres selon l'Organisation internationale de la vigne et du vin. L'Espagne, troisième au classement mondial depuis longtemps, voit au contraire sa production augmenter de 1 % à 37,8 millions d'hectolitres. Pas de quoi changer un classement établi de longue date, donc, et pas de quoi inquiéter la France.
Au niveau mondial, l'OIV s'attend à une baisse de la production de 5 % à 259 millions d'hectolitres. Un niveau jamais vu depuis près d'une vingtaine d'années.
En 2016 les vignobles français auront donc produit, selon les premières estimations, 41,9 millions d'hectolitres de vin. C'est la Champagne, avec une baisse de 32 % de la production, qui est le plus impactée par cette mauvaise année, suivie de la Charente (-22 %). Avec une telle baisse de production, l'écart entre l'Italie et la France se creuse.
Le voisin transalpin a en effet connu une année bien meilleure avec une baisse de la production très limitée (-0,2 %). L'Italie, qui garde sa couronne de leader, devrait produire en 2016 48,8 millions d'hectolitres selon l'Organisation internationale de la vigne et du vin. L'Espagne, troisième au classement mondial depuis longtemps, voit au contraire sa production augmenter de 1 % à 37,8 millions d'hectolitres. Pas de quoi changer un classement établi de longue date, donc, et pas de quoi inquiéter la France.
Au niveau mondial, l'OIV s'attend à une baisse de la production de 5 % à 259 millions d'hectolitres. Un niveau jamais vu depuis près d'une vingtaine d'années.