Airbus entrera dans l’étape finale de sa rationalisation, avec la fusion de la holding Airbus Group avec le constructeur d’avions Airbus. Le nouveau groupe sera opérationnel le 1er janvier, mais un tel rapprochement occasionne des doublons, ce qui explique en partie ces suppressions de postes. Elles toucheront en particulier les secteurs de l’administratif et l’informatique.
La France sera en première ligne, avec un total de 640 postes et la fermeture du site de Suresnes ; une partie des effectifs sera réaffecté à Toulouse. L’Allemagne également est touchée avec 420 suppressions de postes, et la fermeture du site de Munich. Là aussi, des employés iront grossir les rangs du siège européen du groupe.
Airbus compte multiplier les départs volontaires et les retraites anticipées, mais si cela ne suffisait pas, des licenciements pourront être décidés. Dans le même temps, l’entreprise va procéder à 230 recrutements dans le cadre de la « transformation numérique ». Le solde reste reste néanmoins négatif. Airbus compte 136 000 employés.
La France sera en première ligne, avec un total de 640 postes et la fermeture du site de Suresnes ; une partie des effectifs sera réaffecté à Toulouse. L’Allemagne également est touchée avec 420 suppressions de postes, et la fermeture du site de Munich. Là aussi, des employés iront grossir les rangs du siège européen du groupe.
Airbus compte multiplier les départs volontaires et les retraites anticipées, mais si cela ne suffisait pas, des licenciements pourront être décidés. Dans le même temps, l’entreprise va procéder à 230 recrutements dans le cadre de la « transformation numérique ». Le solde reste reste néanmoins négatif. Airbus compte 136 000 employés.