La demande européenne d'acier devrait repartir à la hausse, de 2,1 % en 2014, d'après la Fédération mondiale de l'acier.
La rénovation de cette installation vieille d'une vingtaine d'année va permettre de confirmer la capacité de production de 7 millions de tonnes de brames, des plaques d'acier servant à la fabrication de tôles, dont dispose le site du Nord.
Le groupe estime qu'avec les sites de Fos-sur-Mer et Dunkerque à proximité de grands ports maritimes, la production d'acier liquide annuelle française atteint aujourd'hui 11 millions de tonnes et représente 40 % de la production européenne d'ArcelorMittal. Les cinq haut-fourneaux tournent actuellement à plein régime, pour une production destinée principalement à l'exportation.
La rénovation de Dunkerque montre pour Henri-Pierre Orsoni, le patron de la division Atlantique et Lorraine du groupe, '"la volonté du groupe d'investir dans la durée en France afin de consolider ses activités sur le territoire ainsi que sa stratégie en Europe et en France".
Depuis 2005, le groupe sidérurgiste, qui emploie plus de 20 000 salariés, a investi près de deux milliards d'euros sur l'hexagone. Récemment, c'est la ligne de production d'aciers électriques, à Saint-Chély-d'Apcher en Lozère qui a été inauguré, après un investissement de 90 millions d'euros.
ArcelorMittal se positionne donc en Europe via la France. La demande européenne devrait repartir à la hausse en 2014, de 2,1 % après avoir chuté de près de 20 % en 2008, selon la Fédération mondiale de l'acier.
Le groupe estime qu'avec les sites de Fos-sur-Mer et Dunkerque à proximité de grands ports maritimes, la production d'acier liquide annuelle française atteint aujourd'hui 11 millions de tonnes et représente 40 % de la production européenne d'ArcelorMittal. Les cinq haut-fourneaux tournent actuellement à plein régime, pour une production destinée principalement à l'exportation.
La rénovation de Dunkerque montre pour Henri-Pierre Orsoni, le patron de la division Atlantique et Lorraine du groupe, '"la volonté du groupe d'investir dans la durée en France afin de consolider ses activités sur le territoire ainsi que sa stratégie en Europe et en France".
Depuis 2005, le groupe sidérurgiste, qui emploie plus de 20 000 salariés, a investi près de deux milliards d'euros sur l'hexagone. Récemment, c'est la ligne de production d'aciers électriques, à Saint-Chély-d'Apcher en Lozère qui a été inauguré, après un investissement de 90 millions d'euros.
ArcelorMittal se positionne donc en Europe via la France. La demande européenne devrait repartir à la hausse en 2014, de 2,1 % après avoir chuté de près de 20 % en 2008, selon la Fédération mondiale de l'acier.