Le diable se cache dans les détails. Comme souvent, les investisseurs ne se sont pas arrêtés aux choses qui vont bien — et il y en a beaucoup chez Disney. Le groupe, propriétaire entre autres des super-héros Marvel et de la franchise Star Wars, a réalisé des scores d’exception au box-office mondial avec l’Éveil de la Force, le septième épisode de la saga intergalactique.
Le film, ainsi que ses produits dérivés, ont largement contribué à la croissance de 14% du chiffre d’affaires du groupe au dernier trimestre, qui affiche 15,2 milliards de dollars. Oui mais voilà, dans le même temps le réseau câblé ESPN, spécialisé dans les retransmissions sportives, accuse une baisse de la croissance des commissions d’affiliés : la hausse n’a été « que » de 3,5%, contre 5% au troisième trimestre.
Les investisseurs sont donc partis inquiets des résultats de l’activité câble de Disney, une crainte à laquelle s’est ajoutée une performance moins importante que prévu pour la division grand public (2014 avait été marquée par les produits La Reine des Neiges). À l’ouverture de la Bourse, l’action Disney a donc dévissé de 6%.
Le film, ainsi que ses produits dérivés, ont largement contribué à la croissance de 14% du chiffre d’affaires du groupe au dernier trimestre, qui affiche 15,2 milliards de dollars. Oui mais voilà, dans le même temps le réseau câblé ESPN, spécialisé dans les retransmissions sportives, accuse une baisse de la croissance des commissions d’affiliés : la hausse n’a été « que » de 3,5%, contre 5% au troisième trimestre.
Les investisseurs sont donc partis inquiets des résultats de l’activité câble de Disney, une crainte à laquelle s’est ajoutée une performance moins importante que prévu pour la division grand public (2014 avait été marquée par les produits La Reine des Neiges). À l’ouverture de la Bourse, l’action Disney a donc dévissé de 6%.