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Airbus Defence & Space va ainsi fabriquer les quelques 900 microsatellites de 150 kg pièce, tandis que c’est Arianespace qui va les lancer sur une orbite quasi-polaire (1 200 km de la Terre). Le lanceur européen va exploiter toutes les fusées à son catalogue pour assurer la commande, avec notamment 21 lancement programmés de Soyouz, plus sept lancements en option dont trois pour la future Ariane 6.
Il s’agit d’un contrat extrêmement important pour Arianespace, qui va non seulement lui rapporter entre 1 à 2 milliards de dollars et qui va remplir le carnet de commandes de Soyouz, mais qui place aussi l’entreprise sur le radar de ces nouvelles sociétés internet qui ont l’espace comme nouvel horizon.
Car OneWeb reste un petit acteur dans ce secteur, malgré la taille impressionnante de la flotte de satellites qu’il souhaite mettre sur orbite. Google a en projet le lancement de pas moins de 4 000 satellites afin de relier les coins les plus reculés du globe à internet. Et cette opération inédite dans son ampleur devrait se réaliser en partenariat avec l’américain SpaceX, principal concurrent d’Arianespace…
Il s’agit d’un contrat extrêmement important pour Arianespace, qui va non seulement lui rapporter entre 1 à 2 milliards de dollars et qui va remplir le carnet de commandes de Soyouz, mais qui place aussi l’entreprise sur le radar de ces nouvelles sociétés internet qui ont l’espace comme nouvel horizon.
Car OneWeb reste un petit acteur dans ce secteur, malgré la taille impressionnante de la flotte de satellites qu’il souhaite mettre sur orbite. Google a en projet le lancement de pas moins de 4 000 satellites afin de relier les coins les plus reculés du globe à internet. Et cette opération inédite dans son ampleur devrait se réaliser en partenariat avec l’américain SpaceX, principal concurrent d’Arianespace…