Lundi 3 octobre 2016 : Taxe sur les dividendes : une erreur à 8 milliards d'euros ?
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Voilà que le gouvernement se retrouve une nouvelle fois au centre d'un problème plus que compliqué et qu'il se retrouve obligé de faire un choix : soit un choix en faveur des entreprises mais allant à l'encontre de Bruxelles et de l'objectif de la réduction de la dette, soit un choix en faveur de la dette mais allant contre les entreprises. Dilemme cornélien, quand tu nous tiens...
Europe : les inégalités s'aggravent selon la Banque Mondiale
Certes des centaines de millions de gens dans le monde sont moins pauvres aujourd’hui qu’ils ne l’étaient hier. C’est du moins le bilan globalement positif qu’a dressé la Banque Mondiale. Mais partout, aux Etats-Unis comme en Europe, les inégalités se creusent au fil des ans.
Mardi 4 octobre 2016 : Pour sauver Alstom Belfort, Valls va acheter des trains (mais pas résoudre le problème)
La solution était simple : pour sauver l'usine de Belfort d'Alstom il fallait que son carnet de commandes soit rempli. Sans clients externes en provenance d'autres groupes de transports, ce sera l'Etat qui va commander des trains. Simple, rapide, efficace... mais coûteux. Dans une période de réduction des dépenses publiques et des déficits, pas sûr que l'achat de trains soit une solution que Bruxelles va apprécier...
E-commerce : Facebook s'attaque à eBay
Sur les plates-bandes d’eBay… Facebook, le réseau social numéro un au monde se lance tous azimuts dans l’e-commerce, via une plate-forme d’achat-vente entre ses membres.
Mercredi 5 octobre 2016 : Altice voulait 100 % de SFR, l'AMF lui répond "niet" et bloque tout
Le holding luxembourgeois Altice, maison-mère de Numericable-SFR devenue seulement SFR, voulait faire une opération de grande envergure sur sa filiale : en prendre le contrôle à 100 %. Une OPE sur la part de capital encore aux mains des actionnaires minoritaires de SFR devait donc être lancée par Patrick Drahi. Il n'en sera rien : l'AMF a bloqué toute l'opération.
Jeudi 6 octobre 2016 : La France, 5e économie mondiale (car le Brexit a fait mal au Royaume-Uni)
C'est une bonne nouvelle qui n'est, au final, que liée à une décision historique des Britanniques : alors qu'en 2014 la France avait été rétrogradée d'une place dans le classement des plus grandes économies mondiales au profit du Royaume-Uni, en 2016, selon le FMI, elle retrouve sa cinquième place. La faute ? Au Brexit et à la chute de la livre sterling.