Le « dieselgate » a éclaté il y a un an, le 18 septembre 2015. Les autorités américaines ont alors accusé le groupe automobile allemand d'avoir truqué les moteurs diesel de millions de ses véhicules (11 millions en tout) afin de passer sans encombres les tests antipollution. Volkswagen a organisé des rappels en Europe et s'apprête à signer un très gros chèque aux autorités américaines.
Mais c'est loin d'être terminé pour le plus important constructeur automobile européen. Les investisseurs, craignant une éventuelle prescription des faits après la première année de l'éclatement de l'affaire, ont massivement déposé plainte auprès du tribunal de Brunswick, en Basse-Saxe — l'État allemand où se situe le siège de Volkswagen. Ce sont pas moins de 1 400 poursuites qui ont été déposés, notamment par des investisseurs privés.
Ces derniers réclament 8,2 milliards d'euros pour couvrir les dommages. Il faut dire qu'après la révélation du scandale, le cours de Bourse de l'entreprise a fléchi de 40%… ce qui ne serait évidemment pas arrivé si Volkswagen avait joué franc jeu.
Mais c'est loin d'être terminé pour le plus important constructeur automobile européen. Les investisseurs, craignant une éventuelle prescription des faits après la première année de l'éclatement de l'affaire, ont massivement déposé plainte auprès du tribunal de Brunswick, en Basse-Saxe — l'État allemand où se situe le siège de Volkswagen. Ce sont pas moins de 1 400 poursuites qui ont été déposés, notamment par des investisseurs privés.
Ces derniers réclament 8,2 milliards d'euros pour couvrir les dommages. Il faut dire qu'après la révélation du scandale, le cours de Bourse de l'entreprise a fléchi de 40%… ce qui ne serait évidemment pas arrivé si Volkswagen avait joué franc jeu.