Les Echos a pu mettre la main sur une enquête confidentielle du secteur automobile qui montre que l'âge moyen pour l'achat d'un véhicule neuf est en hausse. S'il était déjà très élevé en 1991 lorsqu'il était de 43,7 ans, en 2014 il a atteint 55,3 ans. Les voitures commencent donc à devenir un luxe au même titre qu'une maison, ce qui n'aide en rien le secteur.
Toutes les marques françaises sont concernées que ce soit les classiques Renault (56 ans en moyenne) et Peugeot (qui détient le record avec une moyenne d'âge de 58 ans) ou les plus jeunes et "low-cost". Dacia, par exemple, malgré des prix bas affiche une moyenne d'âge pour l'achat d'un véhicule neuf de 55 ans.
Les jeunes, eux, sont très peu représentés : seuls 3% des acheteurs ont moins de 25 ans selon cette étude intitulée New Car Buyer Survey (Etude sur les Acheteurs de Voitures Neuves). Les séniors, par contre, sont là : 26% des acheteurs ont plus de 66 ans.
La faute, sans doute, au prix des véhicules : en moyenne un acheteur doit débourser 22 100 euros, du jamais vu depuis 10 ans selon l'étude. Avec la crise et la difficulté de trouver un emploi stable, une telle somme représente un investissement trop important pour les jeunes générations qui préfèrent, du coup, se tourner plutôt vers les réseaux de vente de véhicules de deuxième main.
Toutes les marques françaises sont concernées que ce soit les classiques Renault (56 ans en moyenne) et Peugeot (qui détient le record avec une moyenne d'âge de 58 ans) ou les plus jeunes et "low-cost". Dacia, par exemple, malgré des prix bas affiche une moyenne d'âge pour l'achat d'un véhicule neuf de 55 ans.
Les jeunes, eux, sont très peu représentés : seuls 3% des acheteurs ont moins de 25 ans selon cette étude intitulée New Car Buyer Survey (Etude sur les Acheteurs de Voitures Neuves). Les séniors, par contre, sont là : 26% des acheteurs ont plus de 66 ans.
La faute, sans doute, au prix des véhicules : en moyenne un acheteur doit débourser 22 100 euros, du jamais vu depuis 10 ans selon l'étude. Avec la crise et la difficulté de trouver un emploi stable, une telle somme représente un investissement trop important pour les jeunes générations qui préfèrent, du coup, se tourner plutôt vers les réseaux de vente de véhicules de deuxième main.