Uber n’a pas réellement fait de l’espionnage industriel, du moins pas au sens premier du terme. Uber a racheté la start-up Otto, qui développait un camion autonome, fondée par un ancien ingénieur de Google, Anthony Levandowski. Ce dernier travaillait sur le projet qui donnera, par la suite, la filiale Waymo. Il aurait, en partant de chez Google, embarqué avec lui des disques durs contenant des milliers de fichiers protégés.
Uber aurait été au courant de l’affaire mais aurait malgré tout continué de travailler avec Anthony Levandowski et aurait même utilisé certaines de ces technologies volées dans ses prototypes de voiture autonome. C’est en tout cas l’accusation que Waymo fait envers Uber. Les deux entreprises ont entamé une bataille judiciaire qui risque de durer longtemps.
Toutefois, selon les dernières révélations de Reuters, Waymo aurait en un premier temps tenté de faire passer l’affaire sous silence. Le groupe, filiale du géant Alphabet, aurait proposé un accord amiable avec Uber : une somme d’un milliard de dollars au minimum pour l’abandon des charges et pour la récupération des 14 000 fichiers volés par Anthony Levandowski.
Uber aurait néanmoins refusé cet accord raison pour laquelle Waymo aurait déposé formellement plainte auprès du tribunal de San Francisco. Désormais, la filiale de Google espère obtenir 1,9 milliard de dollars de dédommagement de la part d’Uber, selon la dernière demande formulée. Initialement, Waymo visait un dédommagement de 2,6 milliards de dollars. Le procès débutera le 4 décembre 2017.
Uber aurait été au courant de l’affaire mais aurait malgré tout continué de travailler avec Anthony Levandowski et aurait même utilisé certaines de ces technologies volées dans ses prototypes de voiture autonome. C’est en tout cas l’accusation que Waymo fait envers Uber. Les deux entreprises ont entamé une bataille judiciaire qui risque de durer longtemps.
Toutefois, selon les dernières révélations de Reuters, Waymo aurait en un premier temps tenté de faire passer l’affaire sous silence. Le groupe, filiale du géant Alphabet, aurait proposé un accord amiable avec Uber : une somme d’un milliard de dollars au minimum pour l’abandon des charges et pour la récupération des 14 000 fichiers volés par Anthony Levandowski.
Uber aurait néanmoins refusé cet accord raison pour laquelle Waymo aurait déposé formellement plainte auprès du tribunal de San Francisco. Désormais, la filiale de Google espère obtenir 1,9 milliard de dollars de dédommagement de la part d’Uber, selon la dernière demande formulée. Initialement, Waymo visait un dédommagement de 2,6 milliards de dollars. Le procès débutera le 4 décembre 2017.