cc/flickr/Cherry Point
Non seulement le F-35 est l’avion le système d’armement le plus cher de l’histoire avec un prix affiché de 219 millions d’euros pièce, mais il semblerait que le résultat soit loin d’être à la hauteur des espérances. Des vulnérabilités de l’appareil avaient déjà été mises en évidence par les techniciens du Pentagone comme des problèmes au casque de pilotage nécessaire en mode combat ou encore un risque lié aux éclairs.
Maintenant, outre des failles dans la carlingue et les moteurs qui nécessiteront sans doute une augmentation du poids de l’avion pour le rendre plus résistant (or ce poids est déjà proche de la limite ce qui risque de rendre ces modifications compliquées), ce sont les opérations nécessaires pour son entretien et sa mise en service qui sont « inacceptables pour des opérations de combat » selon Michael Gilmore.
D’autres erreurs ont également été mises en évidence sur le très complexe logiciel de gestion de l’avion et de l’armement. Des problèmes affichés par la version « B » du F-35 destinée aux corps des Marines car permettant un décollage sur une courte distance et surtout un atterrissage vertical. Lockheed Martin a toutefois réitéré ses garanties et estime être parfaitement en mesure de rendre parfaites ou presque les quelques 8,4 millions de lignes de code qui constituent le logiciel.
Maintenant, outre des failles dans la carlingue et les moteurs qui nécessiteront sans doute une augmentation du poids de l’avion pour le rendre plus résistant (or ce poids est déjà proche de la limite ce qui risque de rendre ces modifications compliquées), ce sont les opérations nécessaires pour son entretien et sa mise en service qui sont « inacceptables pour des opérations de combat » selon Michael Gilmore.
D’autres erreurs ont également été mises en évidence sur le très complexe logiciel de gestion de l’avion et de l’armement. Des problèmes affichés par la version « B » du F-35 destinée aux corps des Marines car permettant un décollage sur une courte distance et surtout un atterrissage vertical. Lockheed Martin a toutefois réitéré ses garanties et estime être parfaitement en mesure de rendre parfaites ou presque les quelques 8,4 millions de lignes de code qui constituent le logiciel.