Le deuxième plus grand constructeur automobile américain avait l’intention d’établir une nouvelle ligne de production au centre du Mexique, avec à la clé la création de 2 800 emplois directs. Mais finalement, cet investissement a été annulé ; Ford a changé son fusil d’épaule et préfère agrandir une usine américaine. En l’occurrence, celle de Flat Rock dans le Michigan va recevoir 700 millions de dollars pour développer et produire des véhicules électriques et autonomes.
Cet argent, qui sera injecté sur quatre années, va permettre de créer 700 emplois. De quoi rassurer les salariés et satisfaire Donald Trump qui s’est lancé dans une campagne anti-délocalisation pendant les élections. Malgré tout, Mark Fields le patron de Ford assure que cette décision n’a pas été dictée par le président élu, mais qu’elle a été prise « en toute indépendance ».
Malgré tout, le grand patron a évoqué le sujet avec Mike Pence, le vice-président américain. Fields a mis en avant l’environnement « plus positif pour l'industrie manufacturière et l'investissement », en rappelant avoir fait « ce qui est bon pour [ses] affaires, avant tout ». Quoi qu’il en soit, cette décision apporte de l’eau au moulin de Donald Trump.
Cet argent, qui sera injecté sur quatre années, va permettre de créer 700 emplois. De quoi rassurer les salariés et satisfaire Donald Trump qui s’est lancé dans une campagne anti-délocalisation pendant les élections. Malgré tout, Mark Fields le patron de Ford assure que cette décision n’a pas été dictée par le président élu, mais qu’elle a été prise « en toute indépendance ».
Malgré tout, le grand patron a évoqué le sujet avec Mike Pence, le vice-président américain. Fields a mis en avant l’environnement « plus positif pour l'industrie manufacturière et l'investissement », en rappelant avoir fait « ce qui est bon pour [ses] affaires, avant tout ». Quoi qu’il en soit, cette décision apporte de l’eau au moulin de Donald Trump.