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En France, le groupe Kingfisher détient déjà Castorama et Brico Déco. De quoi lui donner une bonne position mais sans lui permettre d’être le numéro un du secteur dans l’Hexagone. Car c’est Leroy Merlin, détenu par le groupe Adeo, qui est le leader en France du bricolage avec 35% des parts de marché.
Cette position de leader, Kingfisher pourrait la ravir si le rachat est bouclé. Car, selon Jean-François Boucher, PDG de Mr Bricolage, une fois le rachat complété le nouveau groupe détiendrait 45% du marché du bricolage toutes enseignes confondues. Mr Bricolage détiendrait actuellement un peu plus de 11% du marché et les enseignes de Kingfisher près de 34%.
Pour atteindre son but, le groupe britannique est prêt à y mettre le prix : l’entreprise Mr Bricolage est valorisée 275 millions d’euros avec 118,3 millions d’euros de dette. Pour ce faire, Kingfisher compte racheter les parts de capital de l’ANPF et de la famille Tabur puis celles des actionnaires minoritaires. Toutes les actions auraient le même prix : 15 euros l’unité.
La transaction reste toutefois soumise à l’approbation de l’Autorité de la Concurrence qui pourrait toujours créer la surprise et mettre son véto mais cela paraît peu probable.
Une telle opération, outre créer le premier groupe du secteur en France et renforcer la position de leader européen du bricolage de Kingfisher, ne devrait pas entraîner de suppression de postes selon Jean-François Boucher.
Cette position de leader, Kingfisher pourrait la ravir si le rachat est bouclé. Car, selon Jean-François Boucher, PDG de Mr Bricolage, une fois le rachat complété le nouveau groupe détiendrait 45% du marché du bricolage toutes enseignes confondues. Mr Bricolage détiendrait actuellement un peu plus de 11% du marché et les enseignes de Kingfisher près de 34%.
Pour atteindre son but, le groupe britannique est prêt à y mettre le prix : l’entreprise Mr Bricolage est valorisée 275 millions d’euros avec 118,3 millions d’euros de dette. Pour ce faire, Kingfisher compte racheter les parts de capital de l’ANPF et de la famille Tabur puis celles des actionnaires minoritaires. Toutes les actions auraient le même prix : 15 euros l’unité.
La transaction reste toutefois soumise à l’approbation de l’Autorité de la Concurrence qui pourrait toujours créer la surprise et mettre son véto mais cela paraît peu probable.
Une telle opération, outre créer le premier groupe du secteur en France et renforcer la position de leader européen du bricolage de Kingfisher, ne devrait pas entraîner de suppression de postes selon Jean-François Boucher.