Si le secteur des télécoms français est en crise c'est surtout de sa faute : la faute à Free et au lancement en 2012 de Free Mobile devenu le quatrième opérateur mobile de France. Depuis ce moment tous les opérateurs mobiles de l'Hexagone publient de mauvais résultats... tous sauf un : Free justement.
En 2014 la situation est claire : en dépassant pour la première fois les 10 millions d'abonnés dans le mobile et les 6 millions d'abonnés dans le fixe, Free a conquis 15% du marché du mobile français, sur le dos de ses concurrents. Mieux : en un an ce ne sont pas moins de 2,2 millions d'abonnés qui ont rejoint les rangs de Free, mobile et fixe confondus.
Du coup, tous les voyants sont au vert : le groupe enregistre une croissance de 11,2% sur l'année 2014 avec un chiffre d'affaires qui atteint les 4,2 milliards d'euros... et dépasse de fait l'objectif des 4 milliards d'euros que s'était fixé Xavier Niel pour fin 2015.
Et si Free gagne des abonnés et du chiffre d'affaires, il gagne également de l'argent : l'Ebitda augmente de 6,6% sur un an à 1,28 milliard d'euros et le bénéfice net du groupe atteint les 278,4 millions d'euros (+4,9% sur un an).
En 2014 la situation est claire : en dépassant pour la première fois les 10 millions d'abonnés dans le mobile et les 6 millions d'abonnés dans le fixe, Free a conquis 15% du marché du mobile français, sur le dos de ses concurrents. Mieux : en un an ce ne sont pas moins de 2,2 millions d'abonnés qui ont rejoint les rangs de Free, mobile et fixe confondus.
Du coup, tous les voyants sont au vert : le groupe enregistre une croissance de 11,2% sur l'année 2014 avec un chiffre d'affaires qui atteint les 4,2 milliards d'euros... et dépasse de fait l'objectif des 4 milliards d'euros que s'était fixé Xavier Niel pour fin 2015.
Et si Free gagne des abonnés et du chiffre d'affaires, il gagne également de l'argent : l'Ebitda augmente de 6,6% sur un an à 1,28 milliard d'euros et le bénéfice net du groupe atteint les 278,4 millions d'euros (+4,9% sur un an).