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Voilà qui ne devrait pas plaire au deuxième pétrolier du secteur au Royaume-Uni, BP, qui risque fort de ne pas voler la place de leader au nouveau super-groupe qui sera ainsi formé. Shell devrait absorber BG Group, spécialisé surtout dans le gaz, pour la coquette somme de 64 milliards d'euros (47 milliards de livre sterling).
Les deux groupes, une fois fusionnés, devraient peser plus de 150 milliards de dollars en Bourse, surtout depuis que le titre de BG Group s'est envolé à la suite des révélations des pourparlers concernant cette fusion par le Wall Street Journal.
Dans le détail, Shell proposera 1,350 pence par action de BG Groupe, soit 52% de plus que la valeur moyenne du titre sur les 90 dernières séances avant l'annonce officielle de la fusion. Les actionnaires de BG détiendront alors 19% du capital du nouveau groupe.
Selon le communiqué de presse des deux sociétés, les synergies, après fusion et avant impôt, devraient être de l'ordre de 2,5 milliards de dollars par an et la fusion permettra de renforcer les deux entreprises alors que le prix du pétrole reste très bas, loin des 110 dollars le baril de l'été 2014.
Les deux groupes, une fois fusionnés, devraient peser plus de 150 milliards de dollars en Bourse, surtout depuis que le titre de BG Group s'est envolé à la suite des révélations des pourparlers concernant cette fusion par le Wall Street Journal.
Dans le détail, Shell proposera 1,350 pence par action de BG Groupe, soit 52% de plus que la valeur moyenne du titre sur les 90 dernières séances avant l'annonce officielle de la fusion. Les actionnaires de BG détiendront alors 19% du capital du nouveau groupe.
Selon le communiqué de presse des deux sociétés, les synergies, après fusion et avant impôt, devraient être de l'ordre de 2,5 milliards de dollars par an et la fusion permettra de renforcer les deux entreprises alors que le prix du pétrole reste très bas, loin des 110 dollars le baril de l'été 2014.