cc/flickr/Alex van Herwijnen
L’information aurait été dévoilée à Bloomberg par une source proche du dossier, même si ce dossier ne serait pas réel à en croire le groupe français. General Electrics aurait mis sur la table quelques 13 milliards de dollars pour Alstom, soit, à l’heure de la publication de l’article, plus de 25% de plus que la valeur boursière du fleuron français.
Entre temps, à la Bourse de Paris le titre s’est envolé gagnant près de 12% dans la matinée du jeudi 24 avril 2014, permettant au groupe de rattraper en partie le plongeon de son titre qui, depuis un an, avait perdu près de 20% de sa valeur.
Toutefois, cette rumeur semble difficilement crédible car cela signifierait donner aux américains encore une des grandes entreprises françaises. Une transaction qui risque fort de ne pas passer auprès du gouvernement.
General Electrics n’aurait néanmoins pas de mal à réaliser l’achat. La société, valorisée à quelques 265 milliards de dollars à Wall Street et qui emploie 300 000 personnes aurait, dans ses coffres, près de 89 milliards de dollars. De quoi faciliter la transaction sans devoir lever de dette.
D’ailleurs, le groupe, par le biais de son patron, Jeff Immelt, a clairement déclaré qu’il était intéressé par des acquisitions d’une valeur entre 1 et 4 milliards de dollars. Voire plus si les activités sont complémentaires. Et c’est le cas d’Alstom, très bien placé dans le marché de la génération d‘électricité hydroélectrique tandis que GE détient, avec Siemens, une place de leader sur le marché des turbines à gaz.
Entre temps, à la Bourse de Paris le titre s’est envolé gagnant près de 12% dans la matinée du jeudi 24 avril 2014, permettant au groupe de rattraper en partie le plongeon de son titre qui, depuis un an, avait perdu près de 20% de sa valeur.
Toutefois, cette rumeur semble difficilement crédible car cela signifierait donner aux américains encore une des grandes entreprises françaises. Une transaction qui risque fort de ne pas passer auprès du gouvernement.
General Electrics n’aurait néanmoins pas de mal à réaliser l’achat. La société, valorisée à quelques 265 milliards de dollars à Wall Street et qui emploie 300 000 personnes aurait, dans ses coffres, près de 89 milliards de dollars. De quoi faciliter la transaction sans devoir lever de dette.
D’ailleurs, le groupe, par le biais de son patron, Jeff Immelt, a clairement déclaré qu’il était intéressé par des acquisitions d’une valeur entre 1 et 4 milliards de dollars. Voire plus si les activités sont complémentaires. Et c’est le cas d’Alstom, très bien placé dans le marché de la génération d‘électricité hydroélectrique tandis que GE détient, avec Siemens, une place de leader sur le marché des turbines à gaz.