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Après le scandale le groupe Volkswagen a de suite voulu rassurer les syndicats, très puissants en Allemagne, concernant l'emploi : aucun licenciement sec n'aurait eu lieu. Si tous les cadres du groupe ou presque ont été démis de leurs fonctions et que les bonus d'un bon nombre d'entre eux ont été réduits à néant, Volkswagen a toujours annoncé qu'il ne ferait pas peser sur les ouvriers les échecs de ses dirigeants.
De belles paroles, certes, mais le problème de redresser la barre est bien réel. Le groupe a donc en prévision, selon un article du journal allemand Handelsblatt du 12 octobre 2016, prévu de se séparer de 25 000 employés en Allemagne. C'est environ 20 % de ses effectifs outre-Rhin mais ça reste peu par rapport aux plus de 600 000 employés que le groupe compte dans le monde.
Le plan sera étalé sur 10 ans, selon le journal allemand, et permettra tout de même à Volkswagen de maintenir la parole donnée : aucun licenciement sec. Le groupe procédera à des départs à la retraite anticipés qui ne seront pas remplacés au rythme moyen de 2 500 personnes par an. De quoi répondre aux exigences des actionnaires et des syndicats ; et surtout de quoi préserver l'image du groupe qui n'a pas besoin qu'on l'attaque directement sur son management alors que plusieurs procès pour pollution et tricherie sont encore en cours.
De belles paroles, certes, mais le problème de redresser la barre est bien réel. Le groupe a donc en prévision, selon un article du journal allemand Handelsblatt du 12 octobre 2016, prévu de se séparer de 25 000 employés en Allemagne. C'est environ 20 % de ses effectifs outre-Rhin mais ça reste peu par rapport aux plus de 600 000 employés que le groupe compte dans le monde.
Le plan sera étalé sur 10 ans, selon le journal allemand, et permettra tout de même à Volkswagen de maintenir la parole donnée : aucun licenciement sec. Le groupe procédera à des départs à la retraite anticipés qui ne seront pas remplacés au rythme moyen de 2 500 personnes par an. De quoi répondre aux exigences des actionnaires et des syndicats ; et surtout de quoi préserver l'image du groupe qui n'a pas besoin qu'on l'attaque directement sur son management alors que plusieurs procès pour pollution et tricherie sont encore en cours.