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Le groupe Volkswagen a, mardi 28 juin 2016, conclut un accord avec les autorités fédérales américaines pour le volet civil de l'affaire du DiselGate. Le constructeur de Wolfsburg a accepté de payer 15 milliards de dollars dont une partie reviendra aux propriétaires américains des véhicules concernés dont le nombre avoisine les 500 000.
L'accord, qui devra encore être validé par la justice, prévoit en effet un remboursement de 10 000 dollars par véhicule en sus des réparations ou du rachat en fonction de la volonté des propriétaires. Initialement, Volkswagen annonçait un remboursement de 5 000 dollars maximum par véhicule concerné. A noter qu'un accord similaire semble impossible en Europe, le contrat liant la marque allemande à ses clients américains n'étant pas le même que celui la liant à ses clients européens.
De plus, Volkswagen devra payer 2,7 milliards de dollars aux autorités de régulation américaines et 2 milliards de dollars à un fonds de recherche sur les véhicules non polluants pour l'avenir. Mais la somme de 15 milliards de dollars, montant final de cet accord, est loin d'être la seule que le groupe devra payer.
Aux Etats-Unis reste ouvert le volet pénal de l'affaire, les autorités soupçonnant Volkswagen d'avoir triché consciemment, ainsi que le volet écologique lié à la pollution des véhicules diesel non conformes.
Ailleurs dans le monde, Volkswagen reste sous le coup des enquêtes ouvertes par les autorités locales : le logiciel truqueur aurait été installé sur près de 11 millions de véhicules sur quasiment tous les marchés où le constructeur, qui était le premier constructeur mondial en 2015, est présent.
L'accord, qui devra encore être validé par la justice, prévoit en effet un remboursement de 10 000 dollars par véhicule en sus des réparations ou du rachat en fonction de la volonté des propriétaires. Initialement, Volkswagen annonçait un remboursement de 5 000 dollars maximum par véhicule concerné. A noter qu'un accord similaire semble impossible en Europe, le contrat liant la marque allemande à ses clients américains n'étant pas le même que celui la liant à ses clients européens.
De plus, Volkswagen devra payer 2,7 milliards de dollars aux autorités de régulation américaines et 2 milliards de dollars à un fonds de recherche sur les véhicules non polluants pour l'avenir. Mais la somme de 15 milliards de dollars, montant final de cet accord, est loin d'être la seule que le groupe devra payer.
Aux Etats-Unis reste ouvert le volet pénal de l'affaire, les autorités soupçonnant Volkswagen d'avoir triché consciemment, ainsi que le volet écologique lié à la pollution des véhicules diesel non conformes.
Ailleurs dans le monde, Volkswagen reste sous le coup des enquêtes ouvertes par les autorités locales : le logiciel truqueur aurait été installé sur près de 11 millions de véhicules sur quasiment tous les marchés où le constructeur, qui était le premier constructeur mondial en 2015, est présent.