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Tout a commencé aux Etats-Unis le week-end du 19-20 septembre 2015 : le groupe Volkswagen est accusé d'avoir triché lors des tests officiels sur les émissions de gaz de ses moteurs Diesel dans le pays. Un scandale qui aurait pu être contenu puisque aux Etats-Unis le Diesel représente 1% du parc automobile.
Alors que Volkswagen avoue avoir utilisé un logiciel installé sur ses voitures Diesel pour changer les émissions lors des tests officiels, le groupe se retrouve face à une double tourmente : l'action chute vertigineusement (elle perdra un tiers de sa valeur soit près de 25 milliards d'euros de capitalisation en deux jours) et une amende de 18 milliards de dollars de la part des Etats-Unis lui pend au nez. On est alors lundi 21 septembre 2015 et on pense encore que seuls les 500 000 véhicules américains sont concernés.
Une enquête interne menée en temps record par le constructeur allemand dévoile en réalité que l'ensemble de ses modèles Diesel est concerné soit... 11 millions de véhicules dans le monde. Volkswagen est en pleine tourmente et risque, de fait, des amendes dans de nombreux pays. Les critiques, notamment de la part des autorités allemandes, ne cessent de fuser.
Finalement ce sera une première démission le mercredi 23 septembre 2015 qui calmera le tout et surtout la débandade en Bourse : celle du PDG du groupe, Martin Winterkorn, à la tête de Volkswagen depuis 2007 et qui devait y être reconduit ce même mois de septembre 2015 pour deux ans.
L'avenir de Volkswagen reste incertain tout comme celui de ses salariés. Standard and Poor's ainsi que Fitch ont d'ailleurs déjà mis le groupe sous surveillance négative, menaçant ainsi, en plus de tout ce qui lui arrive, de baisser sa note.
Alors que Volkswagen avoue avoir utilisé un logiciel installé sur ses voitures Diesel pour changer les émissions lors des tests officiels, le groupe se retrouve face à une double tourmente : l'action chute vertigineusement (elle perdra un tiers de sa valeur soit près de 25 milliards d'euros de capitalisation en deux jours) et une amende de 18 milliards de dollars de la part des Etats-Unis lui pend au nez. On est alors lundi 21 septembre 2015 et on pense encore que seuls les 500 000 véhicules américains sont concernés.
Une enquête interne menée en temps record par le constructeur allemand dévoile en réalité que l'ensemble de ses modèles Diesel est concerné soit... 11 millions de véhicules dans le monde. Volkswagen est en pleine tourmente et risque, de fait, des amendes dans de nombreux pays. Les critiques, notamment de la part des autorités allemandes, ne cessent de fuser.
Finalement ce sera une première démission le mercredi 23 septembre 2015 qui calmera le tout et surtout la débandade en Bourse : celle du PDG du groupe, Martin Winterkorn, à la tête de Volkswagen depuis 2007 et qui devait y être reconduit ce même mois de septembre 2015 pour deux ans.
L'avenir de Volkswagen reste incertain tout comme celui de ses salariés. Standard and Poor's ainsi que Fitch ont d'ailleurs déjà mis le groupe sous surveillance négative, menaçant ainsi, en plus de tout ce qui lui arrive, de baisser sa note.